Article réservé aux abonnés Tribune. Son tablier de toile blanche est imprégné de sang et lui donne l’allure d’un moine-soldat qui aurait pris sur lui le poids de nos péchés. Cent cinquante-six kilos calés contre son cou et sa tête. Cent cinquante-six kilos, sourit-il, bien qu’il travaille depuis 11 […]
Cliquez ici pour lire la suite Maryline Desbiolles : « Chers “gilets jaunes”, nous sommes tous le peuple »