
Samal Yeslyamova dans «Ayka», de Sergey Dvortsevoy. Dans l’hiver glacial de Moscou, une jeune femme s’enfuit par une fenêtre de la maternité, abandonnant son bébé. Elle court à travers les rues enneigées, pliée en deux par la douleur, pour regagner au plus vite un atelier clandestin où elle plume […]
Cliquez ici pour lire la suite Cinéma: «Ayka», le calvaire d’une sans-papiers dans une Russie implacable