
[…] Ce n’est pas un parloir, mais un discret appartement du centre-ville de Marseille. Un deux-pièces lumineux, avec d’un côté, un coin salon aux murs bleus agrémenté d’une plante verte, et de l’autre, une grande table entourée de chaises sur du carrelage blanc, surplombée d’un grand lustre clair. Sous […]
Cliquez ici pour lire la suite « Dattes et café sont le rituel d’accueil » : Le suivi des « radicalisés » et des « revenants » hors des prisons