
[…] Vous estimez donc que le mouvement de la décolonisation de la pensée et des savoirs, porté par un certain nombre d’intellectuels africains et de la diaspora, n’est pas une urgence ? C’est une urgence pour ceux qui ne savent pas encore qu’ils sont libres. Je ne me considère […]
Cliquez ici pour lire la suite Fatou Diome : « La rengaine sur la colonisation et l’esclavage est devenue un fonds de commerce »