
Au cœur de la bande d’une trentaine de kilomètres imposée par Ankara comme «zone de sécurité», Dirbasiyê vit les conséquences de l’invasion turque. Son maire témoigne. Entre Serekaniyê (Ras al-Aïn en arabe), bombardée à l’ouest, et Qamishlo, à l’est, capitale de feue l’autonomie kurde du Nord-Est syrien, Dirbasiyê borde […]
Cliquez ici pour lire la suite Syrie/Kurdistan : «Envoyez-nous une force internationale pour nous sauver du génocide»