
Jean-Paul Delevoye, le 6 décembre à Paris. BENOIT TESSIER / REUTERS Du premier ministre Edouard Philippe au ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer, tout le gouvernement a défendu « la bonne foi » du haut-commisaire aux retraites et plaidé « l’erreur » d’un homme. Mais derrière « l’erreur » […]
Cliquez ici pour lire la suite L’indulgence du secrétariat général du gouvernement envers Jean-Paul Delevoye