
Un exemplaire des Fleurs du Mal dédicacé par Charles Baudelaire (illustration). — Le livre Le Consentement de Vanessa Springora, qui narre l’emprise d’un écrivain sur l’autrice lorsqu’elle avait 14 ans, a relancé le débat sur la responsabilité de l’écrivain, qu’il s’agisse de fiction ou de non-fiction. Pour la sociologue […]
Cliquez ici pour lire la suite Affaire Matzneff : « Séparer l’œuvre de l’auteur relève d’une position esthète qui n’est pas majoritaire dans la société »