
Giovanni Albertini est habitué à l’opulence. Depuis son poste-frontière entre la Suisse et l’Italie, à deux heures de route de Milan, il passe ses journées à analyser des passagers propres sur eux et à fouiller leurs sacs de voyage estampillés Gucci et Louis Vuitton à la recherche de marchandises […]
Cliquez ici pour lire la suite L’antilope du Tibet est massacrée pour la confection d’écharpes