
Par Adam Bartha. Les rues de Budapest sont méconnaissables en ce jour ensoleillé de printemps : rues vides, restaurants fermés et regards apeurés sur les rares piétons qui passent devant les vitrines. Le silence assourdissant n’est interrompu que par les quelques sirènes d’ambulances. On peut presque sentir la peur […]
Cliquez ici pour lire la suite C’est le printemps pour Orbán, mais pas pour la Hongrie