
Accusé de «banaliser» la réalité du viol par une militante féministe sur un plateau de télévision le 13 novembre, l’académicien avait répondu vivement et avec ironie : «Violez, violez, violez! Voilà, je dis aux hommes: violez les femmes! D’ailleurs, je viole la mienne tous les soirs!» Ces propos délibérément […]
Cliquez ici pour lire la suite Alain Finkielkraut défend l’ironie contre les «bataillons du premier degré»