
L’avocate de plusieurs plaignants Francesca Satta, entourée de M. et Mme Vinet, grands-parents d’une potentielle victime du chirurgien, à Paris, le 26 novembre. JACQUES DEMARTHON / AFP En voyant des gendarmes garés devant chez elle, Marie s’inquiète : qu’est-ce qu’elle a pu faire pour mériter une telle visite ? […]
Cliquez ici pour lire la suite « Ce que la tête n’a pas retenu, le corps l’a fait » : dans l’affaire du chirurgien pédophile, le vertige des victimes