
Temps de lecture: 7 min «Sakine c’était comme sa tata, il la connaissait depuis toujours, il l’admirait», raconte Bérivan de son fils. «Sakine était très proche des enfants, très à l’écoute, attentionnée et il n’a pas supporté qu’elle puisse être, ainsi que Rojbin et Leyla, assassinée en plein cœur […]
Cliquez ici pour lire la suite «C’est l’assassinat de Sakine à Paris qui a poussé mon fils à rejoindre le PKK en Syrie et en Irak»