
PHOTOPQR/LE PARISIEN/MAXPPP Au fil de ses interventions médiatiques, l’avocat Juan Branco, ancien défenseur du tombeur de Benjamin Griveaux, l’activiste russe Piotr Pavlenski, ne cesse d’utiliser des pronoms différents lorsqu’il est interrogé sur son implication dans la diffusion de vidéos à caractère sexuel de l’ex candidat à la mairie de […]
Cliquez ici pour lire la suite « Je », « il », « on », « nous » : du rapport (contrarié) de Juan Branco avec les pronoms dans l’affaire Griveaux